Jpeut pas Jtaff (Part II)
suite et fin de mon brulot pamphletaire sur le travail
Avant le fainéant finissait clodo ou artiste
Maintenant les gens trouvent de bon ton de dire au chômeur d’aller bosser pour un salaire de misère dans un brico dépôt plutôt que de gagner plus a rien foutre (si ce n’est pas financier au niveau de sa conscience on se sent mieux.)
Avant le musicien n’avait pas honte de demander son argent et d’être déclaré
Maintenant ce dernier est ravi d’obtenir un sandwich et une bière après avoir joué 4 heure devant une bande de branleurs aviné (voir étudiant ^^)
A une époque on obtenait une augmentation par mérite ou par travail
Maintenant c’est par piston ou éventuellement par copinage. (Ce qui me fais penser que finalement on évolue dans la société uniquement en devenant bassement politique ou commercial de sa personne)
On fait croire a
Finalement c’est toujours la même poigné de branquignol qui profitera des richesses que les autres auront crée (vu que contrairement à une idée populaire, plus on monte dans l’échelle social plus on a de Fric et moins on est tenté de bosser sinon les retraités seraient des bosseurs monstrueux)
Au japon, les jeunes qui n’assurent pas, finissent par se suicider pour garder leur honneur.
Mais on respecte les vieux qui détiennent la sagesse
En France, Le jeune a envie de se foutre en l’air parce qu’il vois l’avenir de merde qu’on lui prépare (miam le docteur en Biologie qui vend des jeans chez leclerc) et le vieux aimerais bien se foutre en l’air parce qu’après une vie de servitude (pardon … de travail) on finit par le stocker en maison de retraite parce qu’il n’a plus rien a apporter a la société (et il passe de jeune con a vieux con a vitesse Grand V)
Je conclurais avec cette observation que j’ai fait sur mon ami Jeff
(qui d’ailleurs a retrouver fertilité et vigueur dans son couple suite à la lecture des pensées prophétiques… a bon entendeur ^^)
La conclusion prophétique :
Y’a deux moments dans la vie
Un pour gagner du pognon
Et l’autre pour le dépenser
Moralité au travail comme avec les femmes :
Rien ne justifie qu’on se fasse chier sur la gueule.